Petite pièce douces et dingues - Cie 36 du mois
Certain‧e‧s appellent cela l’enfance, d’autres le rêve, l’imagination ou le grain de folie… Chez 36 du mois, c’est à la poursuite de quoi nous sommes souvent : la phrase qui sonne juste, le bon mot ou la saynète qui nous fait sourire et ensoleille notre journée ; le trajet de deux corps qui même à distance nous émeut aux larmes ; l’objet oublié soudain retrouvé qui nous saisit ; ce qui nous captive, nous affole, nous inquiète ou nous intimide… autant de moments fugaces mais essentiels qui nous font nous sentir davantage vivant‧e‧s.
Depuis 2010, Emmanuel Audibert a développé un travail de marionnettes automatisées plein de poésie (l’Arsénic a accueilli dans le passé On était une fois et Mise à nu). Pour ce nouveau projet, il cherche à « upcycler » des installations existantes pour créer de petites formes courtes – accompagné par Jennifer Laurio Marianni pour la dramaturgie et par Kevin Maurer pour la technique – dans lesquelles des interprètes invité.e.s viendront dialoguer avec le « bestiaire » de la compagnie.
En résidence au Foyer du 9 au 15 mai.
Certain‧e‧s appellent cela l’enfance, d’autres le rêve, l’imagination ou le grain de folie… Chez 36 du mois, c’est à la poursuite de quoi nous sommes souvent : la phrase qui sonne juste, le bon mot ou la saynète qui nous fait sourire et ensoleille notre journée ; le trajet de deux corps qui même à distance nous émeut aux larmes ; l’objet oublié soudain retrouvé qui nous saisit ; ce qui nous captive, nous affole, nous inquiète ou nous intimide… autant de moments fugaces mais essentiels qui nous font nous sentir davantage vivant‧e‧s.
Depuis 2010, Emmanuel Audibert a développé un travail de marionnettes automatisées plein de poésie (l’Arsénic a accueilli dans le passé On était une fois et Mise à nu). Pour ce nouveau projet, il cherche à « upcycler » des installations existantes pour créer de petites formes courtes – accompagné par Jennifer Laurio Marianni pour la dramaturgie et par Kevin Maurer pour la technique – dans lesquelles des interprètes invité.e.s viendront dialoguer avec le « bestiaire » de la compagnie.
En résidence au Foyer du 9 au 15 mai.