Dressées en majesté sur un tertre étroit dominant la vallée du Céou, épousant les caprices de la roche, les ruines de l‘Abbaye-Nouvelle implorent les cieux. Le caractère grandiose des vestiges témoigne encore aujourd‘hui de l‘importance d‘un site qui, à son apogée, se complétait d‘un monastère saccagé lors de la guerre de Cent Ans.
Construit en moins de 30 ans, à la fin du 13e s., ce remarquable ensemble cistercien relevait de la puissante abbaye d‘Aubazine (Corrèze). Les moines désertèrent au 17e s. et l‘abbaye subit, à la Révolution, le triste destin des biens confisqués. Son démantèlement, pierre à pierre, au profit de diverses habitations, a, par bonheur, laissé d‘éloquents vestiges.
Construit en moins de 30 ans, à la fin du 13e s., ce remarquable ensemble cistercien relevait de la puissante abbaye d‘Aubazine (Corrèze). Les moines désertèrent au 17e s. et l‘abbaye subit, à la Révolution, le triste destin des biens confisqués. Son démantèlement, pierre à pierre, au profit de diverses habitations, a, par bonheur, laissé d‘éloquents vestiges.